Un doute au sujet des « Forêts » d’Eva Jospin
Je le reconnais, j'aime bien ça, tomber nez à nez sur une forêt d'Eva Jospin. Le matériau choisi: du carton, proche du bois, mais plus tendre, plus accessible ; sa façon de le traiter en profondeur, entre le trompe-l'œil de théâtre et le "pénétrable" à la Soto ; et surtout l'échelle que l'artiste a choisie, pas une taille réelle mais, disons, un taille écran de cinéma : tout cela fait que je m'y projette immédiatement. C'est une forêt de conte et qui sait ce qui peut nous y arriver.